Petit con éternel qui marches sur la terre,
Concentré du néant, pléonasme du vide,
Il te manque un neurone à la gauche du Rien,
Pour faire concurrence au zéro absolu.
Petit con misérable éduqué par l’anus,
Alchimie de la fange, orgasme de sottises,
Il te reste un neurone au milieu du désert
Pour pondre une oasis où garer ton cerveau.
Petit con inutile au devenir du monde,
Nectar de suffisance, extrait d'insignifiance,
Il te faut un neurone au fond de ton sphincter
Pour donner à tes mots un semblant de discours.
Petite frappe idiote abreuvée d’arrogance,
Gène de la bêtise, fatuité permanente,
Il y a un neurone à côté de tes pieds
Pour t’aider à marcher à côté de tes pompes
Funèbres, si funèbres synapses de la platitude absolue et de l'insipide érigés en nec-plus-ultra. Vois comme je te ressemble, n'aie pas peur de ma connerie, elle rejaillit sur toi, te fait scintiller de joie dans le Big-Bang de la beaufitude ancestrale : bougre de cancreloup, loup-phoque de chasse d'eau, multiple du zéro et matrice d'incompétence, accueille-moi en frère d'arme, à nous deux nous ferons un procès à notre unique neurone commun.
Tu as tous les symptômes
de la débilitude,
Et moi, éléphantôme,
je suis ton habitude,
Ton habit d’attitude,
ton arrière-train fantôme;
Une anéantitude
qui te tient lieu d’atome.
Tu devrais le savoir, petit connard géant :
Que peut-il y avoir au-delà du néant
qui ne soit étranger qu'à ton puits d'ignorance,
Et qui mette en danger ta sotte intolérance ?
Petit génie de merde, prince de connitude,
Trou-du-cul d'atmosphère, bordélisme permanent,
Sommité d'inepties, condensé des trous noirs,
Dictionnaire nihiliste, Monseigneur des Anus,
Sulfaté du duodum, GPS du désert,
Emmerdeur solennel, théorie du bidet,
Fricassée de poussière et gratin d'excréments (....),
En tant que congénère, ridicule increvable,
Je reviens bonifier ta soif de nullité
En t'équipant de Tout l'indispensable au Rien :
Je dépose un neurone à l'ouest de ton cul
Pour que tu te souviennes où puiser ton néant
Le jour où tu voudras apprendre à réfléchir
Ailleurs que dans ta glace, ce miroir de chienlit.